Altamar, c’est en espagnol le grand large, l’inconnu. Inspirée de l’éloge du risque d’Anne Dufourmantelle, c’est une invitation à changer de cap, à sortir de certains cycles qui nous enferment dans des situations qui nous empêchent, c’est oser de nouveaux horizons, de nouveaux points de vue.

Gatica chante la solidarité des mélodies de vie, portées par de la poésie. Elle ne prêche pas, elle virevolte, prend soin de nos émotions, nous invite dans la chaleur de sa tendresse, Terra Mater, à partager les battements des cœurs, les percussions de Clara Noll et les ondées du violoncelle de Lola Malique sur le disque.

Cordes hyper sensibles,choeurs, corps, coeurs.