erwan pinard

DATE & heure

Samedi 14 décembre à 20h30

(ouverture des portes à 19h)

RESTAURATION : OUI. Avant et après le concert. Plus d’infos sur la page « Resto & bar »

Dans la continuité de ses deux précédents opus : Obsolescence programmée et L’indicible (treize titres tristes), Erwan Pinard creuse les sillons de la relation amoureuse, ou plutôt ce qu’il en reste, en dynamitant joyeusement au passage les travers de nos modes de vie contemporains. Entre noir et burlesque , lucidité et absurdité, c’est d’abord sur scène que l’on pourra découvrir ses dernières chansons inédites dans un nouveau set aux arrangements et à la mise en scène toujours aussi détonants.

« Désarmant, délirant et détonant, Erwan Pinard n’obéit toujours à aucun précepte sur son dernier album » Patrice Demailly – Libération 

« On dirait Bashung qui fait du stand up » un spectateur 

« Là où Pinard fait la différence c’est qu’il botte le cul aux fadaises et autres niaiseries ambiantes pour donner corps et âme à chacune de ses rimes » David Desreumaux – Hexagone 

« La surprise du chef , Miossec l’avait bien dit : « difficile de jouer après Erwan Pinard »… Non content de proposer des concerts de haute volée le Lyonnais est aussi à l’aise en studio pour délivrer sa chanson folk » Francofans – sélection 5 meilleurs disques 2016 

« Erwan Pinard (…) un charisme de menhir, un baryton au-dessus de l’ordinaire, une guitare qui ne laisse pas de bois (…) et surtout un répertoire façon éponge à deux faces, plein émotif et crin abrasif, sensibilité et absurdité. »Jérémy Bernède – Midi Libre 

« LA DÉCOUVERTE: Honte à nous, elle est française, c’est Erwan Pinard. Un hurluberlu de filiation Dimoné et GieDré à l’attitude rentre-dedans pince sans rire, à la poésie déjantée entre chanson et esprit rock. Un ovni à surveiller » Serge Beyer – Longueur d’Ondes – Festival de Tadoussac (QC) 

« Sa façon de tisser les mots et les idées, de tresser les proverbes qui s’entrelacent pour créer nouveau sens est saisissante, que ce soit dans les satires ou dans les sujets plus personnels, qu’il mêle d’ailleurs intimement. » Catherine Laugier – Nos enchanteurs

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